Ce soir là, J'ai hâte d'aimer sera précédé de L'Agora des Associations

Agora au Balcon du Ciel est un moment de rencontre entre différents domaines du monde du travail. L’évènement se veut riche en échanges. Le but étant de s’apporter de nouvelles idées les uns les autres, de dialoguer ensemble, de communiquer sur des propos actuels et futurs, d’ouvrir son esprit. Rencontrer des personnalités n’appartenant pas au même domaine de travail favorise le développement. En effet, chacun a ses propres compétences, en les réunissant nous pouvons trouver des solutions. Ce n’est qu’en partageant nos ressources que nous arriverons au sommet.

Après L'OUBLI DES ANGES, créé en 2013 et déjà vu par plus de 10'000 spectateurs, J'AI HATE D'AIMER est le deuxième volet de la pentalogie intitulée Les Âges de Vie. Cette dernière sera aboutie sous forme de 5 spectacles en 2019.

Les Âges de Vie traite des rencontres jalonnant une vie et façonnant les êtres. Nous y racontons le parcours de Vie d'une femme, interprétée par Géraldine Lonfat, de sa naissance à sa mort.

L'Oubli des Anges, créé en premier, est le dernier volet de la pentalogie puisqu'il est construit autour de sa mort, abordant par la même l'abandon de l'être aimé, la rupture avec lui, source infinie de bonheur.

J'ai hâte d'aimer traite non pas de l'amour, mais de l'Amour, du rêve, de l'endroit où tous les espoirs sont possibles, où la réalité et les visions ne forment qu'un. C'est le moment de la vie où l'amour est à son paroxysme, là où toutes les potentialités sont offertes, là où il ne reste plus qu'à se baisser pour ramasser à pleines mains la vie dans toute sa beauté ! C'est là où, qu'on soit adulte, enfant ou vieillard, on retrouve son instinct incarné par son enfant intérieur,

J'ai hâte d'aimer nous laisse aussi percevoir l'endroit où toutes les peurs deviennent réelles. Si le jour est le symbole du jeu pour l'enfant, la nuit est le moment des grandes peurs.

Ce spectacle représente plus que jamais l'occasion de rappeler que c'est nous qui créons notre réalité. Si le monde est malade, c'est que notre regard sur celui-ci est malade.

Nous sommes encore et toujours des enfants, vivant parfois en pleine lumière et parfois dans une nuit tragique qui nous empêche de voir ce qui est.

Changer notre regard sur le monde est le moyen le plus sûr de guérir notre société.

Ce spectacles se veut un hymne à la naissance, un hymne à ces instants où l'univers se présente à soi dans toute sa splendeur et sa force.

C'est quand l'individu, ébloui par tant de beauté, se sent porté vers les plus hautes aspirations du monde, c'est quand plus rien ne peut le retenir, que tout devient possible.

Nous voulons créer un spectacle qui rappelle que dans la vie, tout part du rêve et que quand le rêve disparaît, la vie s'éteint.

« Et le mur je l'abats, je suis mon coeur qui bat. Et le mur tu l'abats, tu es ton coeur qui bat. »

Pour cette création, nous avons intimement collaboré avec Fancis Lalanne, auteur des textes du spectacle, rencontré au festival d'Avignon 2015 alors que nous jouions L'Oubli des Anges en version multiculturelle. Francis Lalanne est littéralement tombé amoureux de la Compagnie, puisqu'il est revenu voir le spectacle tous les jours jusqu'à la fin du festival. Une désir artistique commun est naturellement né suite à cette rencontre extraordinaire.

J'ai hâte d'aimer sera présent au festival d'Avignon off 2016, au Théâtre du Balcon, avec Francis Lalanne sur scène.

Processus de Création

J'ai hâte d'aimer traîte de la naissance, du rêve, de l'endroit où tous les espoirs sont possibles, où la réalité et les visions ne forment qu'un. C'est le moment de la vie où l'amour est à son paroxysme, là où toutes les potentialités sont offertes, l où il ne reste plus qu'à se baisser pour ramasser à pleines mains la vie dans toute sa beauté !

Mais c'est aussi l'endroit où toutes les peurs deviennent réelles. Si le jour est le symbole du jeu pour l'enfant, la nuit est le moment des grandes peurs. Un balai permet à l'enfant de se transformer en preu chevalier la journée, tandis que ce même objet peut devenir le symbole de la sorcière la nuit.

Ce spectacle est aussi l'occasion de rappeler que c'est nous qui créons notre réalité. Si le monde est malade, c'est que notre regarde sur celui-ci est malade.

Nous sommes encore et toujours des enfants, vivant parfois en pleine lumière et parfois dans une nuit tragique qui nous empêche de voir ce qui est réellement.

Changer notre regard sur le monde est le moyen le plus sûr de guérir notre société.

Ce spectacle se veut un hymne à la naissance, un hymne à ces instants où l'univers se présente à soi dans toute sa splendeur et sa force.

C'est quand l'individu, ébloui par tant de beauté, se sent porté vers les plus hautes aspirations du monde, c'est quand plus rien ne peut le retenir, que tout devient possible.

C'est ce monde de l'enfance que nous voulons explorer. Vous savez ? Quand les chaises deviennent des chevaux et les seaux d'eau des casques de chevalier...

Nous voulons créer un spectacle qui rappelle que dans la vie, tout part du rêve et que quand le rêve disparaît, la vie meurt avec lui.